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Création : 30/04/2015 à 11:58 Mise à jour : 05/08/2016 à 13:40

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Un Jeu Dangereux Sur Deux Tableaux

Un Jeu Dangereux Sur Deux Tableaux

{Let Her Go ~ Passenger}

La pièce, plongée ainsi dans l'obscurité et sans bruit, me donnait la chair de poule. Tout autour de moi était froid, silencieux et effrayant. Je me tournais alors, dos à la place désespérément inoccupée, et soupirais en voyant que même cette position ne m'apaisait pas. Je levais les yeux vers mon réveil, donc la couleur rouge agressait mes yeux : deux heures. Deux heures du matin.
Voilà donc près de dix-sept heures que je ne l'avais pas vu. Voilà près de dix-sept heures que je n'avais pas pu l'embrasser, le prendre dans mes bras. Ou tout simplement voilà près de dix-sept que je n'avais pas de nouvelles. Je n'arrêtais pas de me demander où il était, ce qu'il faisait, et pourquoi il était retenu aussi longtemps loin de moi... même si, au fond, je savais exactement ce qu'il était en train de se passer. Je n'étais pas dupe. Et le texto que j'avais surpris la dernière fois en disait long...

[...]

Flash-Back

Nous étions tous les deux dans la piscine quand j'eus une envie pressante. En me dirigeant vers les toilettes, je vis son téléphone portable vibrer sur la table basse. En m'approchant, je vis qu'il avait reçu un message. Sans retenue, et après avoir vérifié qu'il était bien dos à moi, je déverrouillais son téléphone et regardais le message qu'on lui avait envoyé. Le numéro était une certaine Laura. J'ouvris le message :

Salut Mon Ange,
J'espère que tu vas bien et que tu penses à moi ! Moi je ne pense qu'à toi, et tu me manques énormément... surtout la nuit. Je languis à nouveau de sentir tes bras m'enlacer pendant que tu me feras l'amour.
Je t'embrasse,
Ta Petite Fleur Coquine.


J'avais alors lâché le téléphone et étais partie me réfugier pour pleurer.

Fin Flash-Back

[...]

Et depuis ce message, Louis avait recommencé à s'absenter la nuit, prétextant travailler tard au studio ou sortir avec les garçons. Et j'avais fait semblant d'y croire, me faisant souffrir en voyant jusqu'où il allait aller comme ça, et s'il allait me laisser longtemps dans l'ignorance.
Je hoquetais et soupirais en réalisant la date. Nous étions officiellement le jour de la saint-valentin, et cela faisait donc exactement trois ans que Louis et moi étions ensemble. Je sentais une magnifique journée en prévision !

[...]

Le lendemain matin, je descendis sans bruit et le retrouvais devant la télévision en train de dévorer ses céréales.

– Tu es rentré tard hier soir, fis-je remarquer en passant derrière lui pour aller dans la cuisine.
– Non, pas tant que ça, répondit-il sans lever le nez de son bol.

Plus les jours passaient, et plus il me devenait insupportable. Plus rien ne me plaisait chez lui et je languissais de pouvoir lui coller mon poing dans la figure dès qu'il m'avouerait la vérité – pas méchamment... juste histoire de me défouler !

– Ah bon ? Parce qu'à deux heures je me suis réveillée et tu n'étais toujours pas rentré...
– Ouais. On... on a bossé tard hier soir et puis je...
– Tu ?
– Je regarde les infos, là, Chérie, s'il-te-plaît, quoi !

« Et encore, il a le culot de se plaindre ?! Mais je vais le tuer ! »
Je partis dans la cuisine taper dans un poulet congelé avant de le frapper jusqu'à ce qu'il ne me demande grâce. Alors que je tentais de calmer mes nerfs, il apparut derrière moi, posa ses mains sur mes hanches et m'embrassa dans le cou.

– Pardon de m'être emporté, Chérie.

Je me dégageais.

– Oui, oui.

Je sortis de la cuisine, pris mon sac, mon manteau, et sortis dans une magnifique journée d'hiver. Il apparut dans l'encadrement de la porte et me héla. Je me retournais malgré tout, frustrée.

– Quoi ?!
– On mange ensemble, ce soir ?

Je répondis rapidement par l'affirmative, bien plus énervée qu'avant après avoir vu son grand sourire. Il s'agissait du même grand sourire qu'il avait usé pour me séduire, et qu'il avait utilisé chaque jour sincèrement en me disant qu'il m'aimait, qu'il n'en aimerait jamais une autre, et qu'il sentait au plus profond de lui que j'étais la femme de sa vie. Cette période me semblait très lointaine à présent...

[...]

Je passais la journée à faire les boutiques avec ma meilleure amie. Ce n'était pas le shopping qui me détendait, mais de me retrouver en seule à seule avec elle. Elle était si détendue et tellement de bons conseils que c'était une journée comme je les aimais. Elle me fit oublier mes soucis, tenta de me rassurer sur Louis – sans succès cependant – et fit le clown toute la journée. Malgré mes protestations, elle me fit acheter une nouvelle tenue pour ce soir, au cas où que ce ne soit qu'une mauvaise passe et que ce soit ce soir que tout se joue. Mais, même si c'était vrai, je n'avais plus la force de faire semblant. Depuis ce message que j'avais surpris, quelque chose en moi c'était cassé. Et dès que je regardais Louis, je ne ressentais plus l'amour qui m'avait lié depuis tant d'années à lui, j'étais juste dégoûtée et j'avais soudain envie de vomir.
En rentrant à la maison, j'étais tout de même décidée à lui laisser une chance de s'expliquer et, peut-être – qui sait ? –, à tout arranger. Cependant, j'étais toute seule. En refermant la porte, je vis un post-it accroché :

Chérie,
Excuse-moi mais j'ai dû partir en catastrophe... Liam a un souci avec sa nouvelle voiture et je pars le dépanner. En tout cas, ne t'en fais pas, je serais largement rentré pour 20h ! En tout cas, fais-toi belle, ce soir on dîne en amoureux au restaurant que tu préfères – tu sais, le restaurant italien.
A toute à l'heure,
Louis.


C'était aussi à ce genre de message que je voyais que plus rien n'allait. Il ne me mettait plus de mots doux, plus de c½ur, ne signait plus « ton Tommo d'amour ». Aussi, cela me confirmait la cassure que je ressentais depuis quelques semaines.
En accrochant ma veste au porte-manteau, je vis sa veste de costume préparée et, prise d'un élan de folie, j'en fouillais les poches. Je tombais sur un objet rectangulaire dans sa poche intérieure, et je sortis la boite noire. Je l'ouvris doucement, ne voulant rien abîmer, et tombais sur un magnifique collier en or avec un joli pendentif en forme de c½ur au bout de la chaîne. Derrière le c½ur était inscrit : « Je t'aime ». J'en avais les larmes aux yeux. Je remis donc la boite à sa place, excitée d'être à ce soir.

[...]

Le soir venu, je le rejoins au salon et il resta bouche-bée devant ma tenue, ne cessant de me complimenter. Depuis que j'avais vu le collier, j'avais tenté de chasser toutes mes idées noires... aussi je fus réceptive à tous ses compliments, et lui rendis également la pareille. J'acceptais même qu'il m'embrasse, allant jusqu'à lui rendre réellement son baiser. Je vis à son sourire qu'il était soulagé.
« Et moi donc ! »
Nous montâmes dans la limousine et le chauffeur nous conduisit vers mon restaurant préféré, où Louis avait réservé toute l'arrière-salle. J'étais aux anges ! Je retrouvais le Louis du début, celui que j'avais tant aimé !
Nous passâmes le repas à parler de tout et de rien, il me raconta le travail qu'il accomplissait chaque jour au studio, et je lui expliquais ce que moi je faisais au boulot. Nous rîmes et, plusieurs fois dans la soirée, sa main frôla la mienne ; je crus retrouver ce que nous avions perdu, et je crus même frissonner au contact de sa peau sur la mienne. Je revenais exactement trois ans en arrière, lorsqu'il m'avait timidement embrassé sous la pluie... et c'était merveilleux ! J'en avais des papillons dans le ventre !
Et alors que tout se passait bien, il sortit de la poche intérieure de sa veste une petite boite carrée bleue. Je l'observais, interdite. Je tremblais lorsque je la récupérais de sa main. J'ouvris lentement le couvercle et tombais sur une paire de boucles d'oreilles en argent, avec une touche de bleu azur. Elles étaient magnifiques ! Mais où était passé le collier ? Comme un deuxième cadeau ne semblait pas au rendez-vous... j'éclatais en sanglots. Louis, face à moi, perdit toutes ses couleurs.

– Qu'y a-t-il, Mon Amour ?

Il semblait paniqué, et hésitait presque à me toucher. Ses bras restaient près de moi en quand de chute ou de crise d'hystérie, mais il ne savait pas réellement comment réagir. Je frôlais sincèrement la naïveté ! Comment avais-je pu croire une seule seconde que Louis était sincère, et qu'il allait suffire d'une soirée pour tout arranger ?! Comment avais-je pu imaginer tout oublier par la simple présence d'un collier ?! Etais-je devenue débile depuis que je sortais avec lui ?! Probablement, il n'y avait aucune autre explication...
Je relevais d'un seul coup la tête.

– Rien, je... je suis fatiguée, et je veux rentrer.

Cependant, je me sentais tout de même étrange depuis quelque temps, et je pensais savoir ce qui n'allait pas. J'allais souvent vomir à mon réveil le matin, et j'avais des sautes d'humeur assez impressionnantes. J'espérais pourtant me tromper. Aussi, comme nous avions fini nos desserts, Louis accepta que nous rentrions, et capitula quand je lui demandais de s'arrêter à la pharmacie de garde et d'y aller moi-même. Je descendis doucement de la voiture, achetais des aspirines pour faire bonne mesure et un test de grossesse que je cachais dans mon sac, tout au fond.
« Pourvu qu'un enfant ne vienne pas se mêler à la situation déjà compliqué ! »
Il était clair que, depuis que j'avais vu que ce fichu collier ne m'était pas réservé, j'étais décidée à quitter Louis, et ce dès que nous serions rentrés. Mais si jamais j'apprenais que j'étais enceinte, je n'aurais plus la force de partir en le laissant derrière moi...

[...]

Appuyée sur la baignoire, la porte de la salle de bain fermée à double-tours, j'attendais le résultat du test, priant pour qu'il soit négatif. Observant mon reflet dans la grande glace en face de moi, je me dégoûtais. Comment en étions-nous arrivés à cette situation stupide ?! A quel moment avais-je perdu tout espoir de garder Louis près de moi ? Quelle erreur avais-je commise au point de ne plus lui suffire ? Je ne savais pas... et d'un certain côté, je ne voulais pas savoir.
Ce fut avec soulagement que je vis apparaître un moins sur l'écran de mon test. Je n'étais donc pas enceinte, et ce n'était sûrement peut-être que les symptômes du stress ou du dégoût que me provoquait la situation... En tout cas, un enfant n'aurait pas à trinquer de notre histoire ; et ça, c'était un vrai soulagement pour moi. Aussi, je sortis de la salle de bain, plus déterminée que jamais.
Je fonçais donc droit dans notre chambre et montais sur un escabeau pour récupérer la grosse valise avec laquelle j'étais arrivée ici. Quand elle retomba sur le parquet, un grand silence se fit au rez-de-chaussée. Je l'ouvris sur le lit et commençais à regrouper toutes mes affaires, alors que des pas se faisaient lourdement entendre dans l'escalier. Alors que je rangeais mes gros pulls, Louis apparut dans l'encadrement de la porte. Je le vis froncer les sourcils alors que je me retournais pour récupérer une autre valise pour mettre mes vestes et mes sous-vêtements. Il m'attrapa le bras.

– Qu'est-ce que tu fais ?
– Tu le vois bien, non ? Je fais mes valises, et je m'en vais.
– Quoi ?!

Alors que je terminais, il tentait comme il le pouvait de me retenir. Il commença même à ouvrir ma grosse valise pour remettre à leur place mes pulls, mais je le retins. Le ton monta alors de plus en plus et j'en vins à pleurer.

– Ecoute, Louis, ça ne sert à rien. Tout ce que tu feras n'y changera rien. J'ai pris ma décision, d'accord ?!
– Et moi, je compte pas ?!
– D'accord. Donc, il y a toi, moi... et Laura. On fait quoi, à trois ? Nous n'avons qu'un lit pour deux, tu sais ?!

Il s'arrêta de crier aussitôt.

– Et je n'ai plus la force de me battre pour toi. Ça fait trois ans que j'essaie. Là j'ai eu ma dose, c'est bon ! Je lègue volontiers le flambeau à une autre.

Je pris alors mes valises et les jetais dans l'escalier. Elles atterrirent dans l'entrée et je les suivis du plus vite que je pus.

– Je t'en prie, Mon Amour...
– Non, Louis, c'est bon. Là, ça suffit. J'espère que tu seras heureux avec elle...
– Mais je t'aime !

Je retins mes larmes. Pourquoi faisait-il cela ? Pourquoi avait-il le don de me faire pleurer, encore maintenant ?

– Tu sais quel a été le pire, Louis ?

Je jetais un coup d'½il au salon et vit qu'il avait préparé la table pour nous deux et un petit dîner, certainement pour espérer me remettre en forme. Ses yeux bleus étaient pleins de larmes et me donnaient envie de me jeter dans ses bras et de lui demander pardon si je l'avais délaissé récemment. Mais je tins bon.

– C'a été de te voir continuer à jouer le jeu entre elle et moi. De nous faire passer pour des idiotes toutes les deux et d'espérer pouvoir jouer sur les deux tableaux. Mais il y a surtout plus grave... j'ai cru pendant deux heures être enceinte de toi ! Et, malgré tout, je ne cessais de penser à partir. C'est comme ça que j'ai compris. Que si même un enfant ne pouvait pas me faire rester, c'est que rien ne le pourrait plus jamais.

J'enfilais ma veste et attrapais mes deux valises. Il me les arracha des mains et tomba à genoux devant moi, m'encerclant fermement la taille de ses bras costauds qui m'avaient si souvent rassuré...

– Je t'en prie, reste avec moi. Je t'aime ! Je t'aime et je suis désolé. Crois-moi, je t'en prie, je vais changer !

Les larmes coulèrent silencieusement sur mes joues et je caressais doucement ses cheveux alors que je sentais ses larmes chaudes contre mon ventre noué. Je fixai alors le mur face à moi et pris mon courage à deux mains :

– Tu sais Louis... les promesses sont faites pour être tenues.

Il se releva et me regarda alors au travers de ses larmes. J'ouvris la porte en grand, le séparant déjà à demi de moi.

– Je sais mais..., tenta-t-il.

Je soupirais.

– Adieu, Louis, le coupai-je. Je t'ai aimé de tout mon c½ur... et tu resteras à jamais mon premier amour. Mais je ne peux pas te partager, et je n'ai plus la force de me battre.

Il baissa la tête et je vis une larme tomber sur le sol. Je fermais les yeux, pinçais les lèvres puis sortis, la tête haute. Je refermais alors la porte derrière moi, comme on referme un livre à la fin d'une merveilleuse histoire. D'un certain côté, j'avais vécu de belles années avec lui, et je ne regrettais rien. Si nous en étions venus à nous séparer, c'était que ça devait être ainsi.

[...]

Eclipse de six mois

J'allumais la télé, blottis dans mon canapé, un chocolat chaud dans la main. Je vis alors le groupe dans lequel j'avais cru pouvoir passer toute ma vie. Je vis Louis, juste derrière Harry. Il avait la tête baissée, puis releva les yeux vers la foule. Toutes les filles qui les entouraient hurlaient, et Louis les salua brièvement. Il leur fit un petit sourire puis ils disparurent derrière leurs gardes du corps et entrèrent dans un bâtiment. J'avais vu son sourire, aussi clairement que j'avais vu ses larmes quand j'étais partie. Ce n'était plus le même sourire qu'avant, il n'était plus aussi heureux. Il possédait désormais un sourire triste et un visage pâle et fermé.
Les autres garçons du groupe me rendaient parfois visite, ou m'envoyaient des messages, ou m'appelaient... mais malgré toutes leurs tentatives, je n'avais jamais revu Louis – en dehors de la télévision ou des magazines –, et je n'avais pas l'intention de retourner avec lui. Ils ne pouvaient pas comprendre ce que j'avais vécu et ce que j'avais fui. J'étais bien comme j'étais.
J'avais tourné la page, une jolie page d'une belle histoire... et il devait faire de même. Le temps finirait par l'aider. J'en étais sûre. J'étais fière de lui, et je ne regrettais rien. Il devait se remettre de ce qu'il s'était passé. J'étais partie, c'était vrai... mais il l'avait cherché. Il devait assumer et passer à autre chose. Car jamais, au grand jamais, je ne retomberais dans ses bras. Je l'avais aimé, mais il m'avait trompé... et ne s'en était jamais réellement excusé. Je supposais donc qu'il avait, lui aussi, fait un choix. A lui d'en assumer les conséquences.
Je n'étais pas méchante, ou mesquine ; j'étais réaliste et logique.


THE END!
Tags : Un Jeu Dangereux Sur Deux Tableaux, O.S, Louis Tomlinson
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#Posté le dimanche 24 mai 2015 12:13

Modifié le lundi 27 juin 2016 12:07

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